User:Sichek/Pierre Bonny
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- Claude Goyard, « L'enquête sur le rôle de la Sûreté générale dans l'affaire Stavisky », in Bernard Chenot, Michel Fleury, L'État et sa police en France (1789-1914), Actes du colloque organisé par l'Institut français des Sciences administratives et la IVe section de l'Ecole pratique des Hautes Etudes, Droz, 1979, pages 177-206
- André Tardieu, Sur la pente, Flammarion, 1935
- Alan Morris, Collaboration and resistance reviewed: writers and the mode rétro in Post-Gaullist France, Berg, 1992
- (X) Gisèle Dessaux Prince, Ils ont tué mon père : L'affaire Prince, 1934, Plon, 1995
- Maurice-Ivan Sicard (dit Saint-Paulien), Mémoires de Jo-la-Terreur, adaptés par Maurice-Ivan Sicard, Nouvelles éditions latines, 1934
- Françoise Puaux, La justice à l'écran, Corlet, 2002 (sur le Cayatte)
- Léon Daudet, Bréviaire du journalisme, Gallimard, 1936 ("Les cas de Bonny, de Mariani et d'autres prouvent que le chantage, direct ou par personne interposée, est le gagne- pain d'innombrables bourriques, surtout dans les grades élevés.")
Petits articles possibles ? Andrée Cotillon, Georges Hainnaux, inspecteur Bayard ?
- enquête de l'inspection des services en 1934
- détail opérations contre les réseaux avec la Carlingue
- détail Brigade nord-africaine
- complément mode rétro
Archives à voir pour commons :
- hélas un blog
- le stagiaire Bonny rapporte la vareuse, Ouest-Éclair, 1er août 1923
- L'Action française, édito de Daudet où il récapitule ses doutes de longue date sur Bonny a priori agent de Sarraut, puis de Chautemps, puis manipulateur de l'affaire Stavisky.
- La série des 11 (?) articles de Simenon dans Paris-Soir :
- 1934/03/20
- 1934/03/21
- 1934/03/23
- ...
- 1934/03/26
- ...
- 1934/03/30
- ...
- 1934/04/06
- une jolie Cotillon
- le "suicide" de Bonny
Pierre Bonny est un policier français rendu célèbre dans l'entre deux guerres notamment par son rôle lors de l'affaire Stavisky et de l'affaire Prince, puis, après sa révocation, devenu en 1942-1944 l'un des chef de la gestapo française de la rue Lauriston .
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Bonny, inspecteur-stagiaire à la Sûreté, ne joue qu'un rôle marginal dans l'enquête, mais celui-ci sera considérablement grossi par la défense de Guillaume Seznec à partir des années 1950. On lui attribuera à tort, notamment, la supposée fausse preuve de la machine à écrire.
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Le quotidien Le Matin annonce le 1er juillet 1923 la poursuite de l'enquête sur l'affaire Seznec avec le déplacement du commissaire Vidal à Dreux et à Houdan. Sur l'illustration, de gauche à droite : le commissaire Achille Vidal, Guillaume Seznec, un employé de la gare de Houdans et enfin l'inspecteur Pierre Bonny, secrétaire et porte-serviette du commissaire.
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Annonce de l'arrestation de Guillaume Seznec dans Le Journal du 1er juillet 1923. De gauche à droite : un cheminot, le commissaire Achille Vidal, un seconde cheminot, Guillaume Seznec et enfin l'inspecteur Pierre Bonny.
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Dans un article titré "Les alibis de Seznec tombent les uns après les autres", L'Ouest-Éclair du 19 juillet 1923 fait état des avancées sur la preuve décisive de la machine à écrire. L'inspecteur Bonny, lui, n'y est mentionné que pour le transport de Bretagne à Paris de différents scellés de moindre importance.
<gallery caption="Affaire du faux marquis de Champaubert (1924)">
File:Clément Passal - marquis Elie de Champaubert - Le Petit Parisien - 27 septembre 1924.png|L'affaire du faux marquis de Champaubert est la première qui contribue véritablement à la réputation de Bonny dans la presse.
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