User:Sichek/Ferdinand Walsin Esterhazy
Choses à faire
[edit]- demander le renommage de la catégorie "Ferdinand Walsin Esterházy" de Wikimedia Commons en "Ferdinand Walsin Esterhazy". Voir ici. Done fait !--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 16:47 (CET)
- Illustrations :
- Maurice Weil
- La poignée de main d'Henri d'Orléans (J'en ai trouvé une caricature. Est-ce ce que vous cherchez ?)--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 21:52 (CET)
- @Jebulon: : Oui, tout à fait. Il en existe plusieurs illustrations, plus ou moins "mordantes" et au moins une laudative et anti-dreyfusarde. Il serait intéressant de pouvoir les collecter.
- Je vous remercie encore pour votre aide précieuse, ici comme sur Wikimedia Commons ! Il faut vraiment que je m'y remette, mais je vais attendre de pouvoir prendre quelques congés, pour faire tout cela à tête reposée. --Sichek (discuter) 16 février 2015 à 09:31 (CET)
- caricature de Delegorgue, « la question a été posée » (Le Rire ?) (Si c'est le corps d'Henry veillé par une sentinelle, j'ai trouvé (par Ibels))--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 21:52 (CET)
- @Jebulon: : Il s'agit bien d'Ibels, dans Le Sifflet, n°32, 8 septembre 1898. Elle est mentionnée notamment dans Le Sifflet (1) sur caricaturesetcaricature.com. --Sichek (discuter) 16 février 2015 à 09:31 (CET)
- DoneFait ici. Comme la précédente, c'est une reprise de la caricature d'origine (dans le même ouvrage), mais je suis content d'avoir trouvé ça pour vous. J'y ajoute un petit cadeau qui manquait à la collection et qui vous sera peut-être utile. Bon, vous n'êtes pas comme le canon de 120, maintenant, vous ne pouvez plus reculer ! Ne manquez pas de jeter un coup d'oeil à mes sources (dans le pages de description des fichiers, il y a les liens). Vous y trouverez des perles ! Bien à vous.--Jebulon (discuter) 21 février 2015 à 14:32 (CET)
- Articles :
Choses faites
[edit]- (X) Finir de corriger sur Wikimedia Commons (et sur les wikis qui l'utilisent à tort) le fichier "File:Bordereau.jpg" qui n'est évidemment pas "Le bordereau", mais probablement "un" bordereau des dossiers du Bureau des Statistiques, et qui n'a évidemment pas Esterhazy comme auteur
Généalogie
[edit]- Template:Arbre/Branche finale Valentin (Antoine ?) Joseph Esterházy (1705-1743)
- Ladislas Valentin Esterházy (1740-1805)
- Template:Arbre/Branche finale Marie Anne Esterházy (1741-1823) ~ Jean César de Ginestous (1725-1810)
- Template:Arbre/Branche finale Jean-Marie-Auguste Walsin Esterhazy (1767-1840) ~ Marie-Adélaïde Cartier (1779-?)
- Valentin Joseph Walsin Esterhazy (1802-1856)
- Template:Arbre/Branche finale Paul Walsin Esterhazy (1836-1896) ~ Louise de Faultrier (1842-1920)
- Valentin Walsin Esterhazy (1865-1892)
- Marthe Walsin Esterhazy (1867-1956)
- Alice Walsin Esterhazy (1869-1899)
- Everilda Walsin Esterhazy (1873-1950)
- Template:Arbre/Branche finale Christian Walsin Esterhazy (1875-1957)
- Template:Arbre/Branche finale Paul Walsin Esterhazy (1836-1896) ~ Louise de Faultrier (1842-1920)
- Jean-Louis-Ladislas Walsin Esterhazy (1804-1871)
- Template:Arbre/Branche finale Louis-Joseph-Ferdinand Walsin Esterhazy (1807-1857) ~ Marie-Thérèse-Zélie Dequeux de Beauval (1822-1865)
- Marie Walsin Esterhazy (1847-?)
- Template:Arbre/Branche finale fr:Ferdinand Walsin Esterhazy (1850-1923) ~ Anne-Marie de Nettancourt-Vaubécourt (1864-1944)
- Évérilda Walsin Esterhazy (1887-1963)
- Template:Arbre/Branche finale Armande Valentine Walsin Esterhazy (1889-1976)
- Valentin Joseph Walsin Esterhazy (1802-1856)
- Template:Arbre/Branche finale Jean-Marie-Auguste Walsin Esterhazy (1767-1840) ~ Marie-Adélaïde Cartier (1779-?)
Chronologie
[edit]- décembre 1846, mariage de Ferdinand Walsin Esterhazy avec Marie-Thérèse-Zélie Dequeux de Beauval[1]
- 16 décembre 1847, naissance à Paris[2]
- 1er septembre 1957, mort de Ferdinand Walsin Esterhazy[3]
- octobre 1860, entrée au lycée Bonaparte[4]
- 1863, quitte le lycée et obtient son baccalauréat ès sciences avec la mention « passable » en avril, puis à nouveau en juillet[5]
- 16 avril 1864, baccalauréat ès lettres avec mention « bien »[6]
- 15 novembre 1865, inscription à la faculté de droit[7]
- 27 décembre 1865, mort de Marie-Thérèse Esterhazy[8]
- 1866 (ou 1867), échec au concours d'entrée à Saint-Cyr[9]
- 30 mai 1867, décoré de l'ordre tunisien du fr:Nichan Iftikhar de 3e classe[10]
- 31 janvier 1868, engagement dans la Légion romaine comme chasseur de 2e classe[11]
- 11 avril 1868, promu caporal[12]
- 19 novembre 1868, promu sergent[13]
- 22 mai 1869, promu sous-lieutenant[14]
- 12 mars 1870, démission de la Légion romaine[15]
- 26 juin 1870, entrée à la fr:Légion étrangère avec le grade de sous-lieutenant[16], [Note 1]
- juillet 1870, affectation à Saïda[17]
- 19 juillet 1871, entrée en guerre
- 27 septembre 1870, affectation au fr:2e régiment de zouaves[18]
- 30 octobre 1870, nommé officier d'ordonnance du général Rebillard, commandant la 2e brigade de la 2e division du 15e corps[19]
- 9 novembre, fr:bataille de Coulmiers[20]
- 17 novembre 1870, nommé lieutenant à titre provisoire[21]
- 2 au 4 décembre, bataille d'Orléans, puis proposition pour la Légion d'honneur et nomination au grade de capitaine[22], [Note 2]
- 13 janvier 1871, engagement à Arcey[23]
- 24 janvier 1871 (?), bataille d'Héricourt[24]
- 27 janvier 1871 (?), engagement à La Lisaine[25]
- 28 janvier 1871, armistice
- 1er février 1871, nommé rapporteur près le conseil de guerre de la 2e division du 15e corps[26]
- 20 mai 1871, mise en disponibilité du général Rebillard[27]
- septembre 1871, retour à fr:Oran, hospitalisation à l'hôpital militaire[28]
- 12 décembre 1871, mort du général Ladislas Esterhazy
- 31 décembre 1871, rétrogradé au rang de sous-lieutenant par la Commission de révision des grades[29]
- 1872, convalescence en France toute l'année[30]
- fin 1872, nommé au 3e zouaves à Philippeville[31]
- 11 août 1873, blâme à la suite de ses tentatives de se faire recommander pour la Légion d'honneur[32]
- 11 février 1874, promu lieutenant[33]
- 1874, affectation au 51e ligne[34]
- 17 octobre 1874, nommé officier d'ordonnance du général Grenier, qui commande la division à laquelle appartient le 51e[35]
- 1874… La garçonnière du 9 rue des Écuries-d'Artois (fr:rue d'Artois)[36]
- 9 juin 1876, départ en retraite du général Grenier, Esterhazy devient documentaliste à la « Réunion des officiers »[37]
- 1876-1877 (?), liaison avec Léonide Leblanc[38], liaison avec la marquise Anforti[39]
- 12 février 1877, affecté au Service des renseignements[40]
- 1877, début de la liaison avec Marie Montchanin, danseuse de l'Opéra[41], [Note 3]
- février 1880, astreint à rejoindre son affectation au 51e, bénéficie d'un congé de maladie de trois mois[42]
- 14 septembre 1880, promu capitaine et transféré au 135e d'infanterie (fr:Cholet)[43]
- 1881, début de la relation avec Madame de Boulancy[44], [45]
- août-décembre 1881, campagne de Tunisie[46]
- 17 février 1882, nommé « chef de cercle » à fr:Sfax[47]
- décembre 1882 (?), retour en France, congé de maladie de six mois, prolongé jusqu'à l'été 1884[48]
- 1885 (?), affecté aux chasseurs alpins (fr:Marseille)[49]
- 6 février 1886, mariage avec Anne-Marie de Nettancourt-Vaubécourt[50]
- automne-hiver 1886, congé de maladie après les grandes manœuvres d'été[51]
- printemps 1887, retour à Paris[52]
- 12 octobre 1887, naissance d'Everilda[53]
- février 1888, achat du domaine de Dommartin la Planchette[54]
- juillet 1888, nommé adjudant-major au 18e bataillon de chasseurs (fr:Courbevoie)[55]
- 25 février 1889, naissance de Valentine[56]
- 1889, affaire des billets à ordre de Jacques de Nettancourt[57]
- 1892, achat des immeubles de la rue des Cascades à Ménilmontant[58]
- 1892, renoue avec Gaston Grenier, beau-frère du capitaine Crémieu-Foa[59]
- 1er juin 1892, témoin du capitaine Crémieu-Foa lors du duel avec fr:Édouard Drumont[60]
- 20 juin 1892, témoin du capitaine Crémieu-Foa lors du duel avec Pradel de Lamase[61]
- 23 juin 1892, duel Morès-Mayer[62]
- 10 juillet 1892, promu au grade de commandant[63]
- 2 août, après son affectation au 110e de ligne (fr:Dunkerque), congé de maladie pour le reste de l'année[64]
- 29 août 1892, témoigne au procès Morès[65]
- 1892 (?), liaison avec Mlle Lévindré (Mlle de Lineuil)[66]
- janvier 1893, affectation au 74e d'infanterie (fr:Rouen)[67]
- printemps 1894, Grenier le recommande à Jules Roche[68]
- 1894 (?) Esterhazy devient le collaborateur du commandant Octave Biot, qui signe « Commandant Z » dans fr:La Libre Parole [69]
- juin 1894, il s'entremet à la demande de Weil auprès de La Libre Parole au profit du général Edon[70]
- juin 1894, lettres aux Rothschild[71]
- 20 juillet 1894, 1re entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen à l'ambassade, rue de Lille[72]
- 27 juillet 1894, 2e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen [73]
- août 1894, entrevue au café Victor, à Rouen avec le lieutenant Bernheim qui lui fait parvenir le Règlement sur le service des bouches à feu de siège et de place et la « réglette de correspondance » servant à régler le tir du canon de 120[74]
- 6-9 août 1894, Esterhazy aux écoles à feu au Camp de Châlons[75]
- 13 août 1894, 3e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[76]
- 21 août, article du « Commandant Z » dans La Libre Parole sur la réorganisation des régiments d'artillerie [77]
- c. 27 août 1894, rédaction du « bordereau »[78]
- 1er septembre 1894, 4e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[79]
- 5 septembre 1894, 5e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[80]
- 6 septembre 1894, 6e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[81]
- 27 septembre - 4 octobre 1894, série d'articles du « Commandant Z » dans La Libre Parole sur la formation des divisions provisoires de cavalerie[82]
- 13 octobre 1894, von Schwartzkoppen reçoit la « réglette de correspondance »[83]
- 1895, début de sa liaison avec Marguerite Pays[84], [Note 4]
- début 1895, retour à Paris, 27 rue de la Bienfaisance[85]
- 1895-1897, Esterhazy en relation avec différents membres de L'Épée et la Plume[86]
- printemps 1895, livraison à von Schwartzkoppen d'une note sur le plan XIII[87]
- 18 mai et 15 juin 1895, notes du Nachrichtenburo à von Schwartzkoppen sur la médiocre qualité des renseignements apportés par Esterhazy[88]
- premier semestre 1895, lettre à fr:Edmond de Rothschild offrant des renseignements sur Drumont et La Libre Parole[89]
- 1er juillet 1895, Picquart prend la tête du Bureau des Statistiques
- juillet 1895, requête d'Esterhazy auprès du capitaine Le Rond sur les obus allongés de 80[90]
- 14 septembre 1895, article d'Esterhazy dans La Libre Parole sur la passivité du contre-espionnage français face à l'espionnage allemand[91]
- 1896, Esterhazy contribue à L'Autorité[92]
- début 1896, Esterhazy installe Marguerite Pays au 49 fr:rue de Douai[93]
- fin février-début mars 1896, Esterhazy fait copier les illustrations des cours polycopiés de l'École normale de tir sur le nouveau fusil Lebel par le soldat Écalle[94]
- mars 1896, le « petit bleu » et un second brouillon de lettres sont interceptés[95]. Picquart se renseigne sur Esterhazy auprès du commandant Curé et le fait surveiller par le commissaire Desvernine de la Sûreté[96]
- avril 1896, Esterhazy rencontre von Schwartzkoppen encore à deux reprises [97]
- mai-juillet 1896, rédacteur publicitaire pour Gabriel de Zogheb[98]
- 20 juillet 1896, fr:Maurice Weil recommande Esterhazy au ministère de la guerre pour un poste à la Section technique de l'infanterie ou au Bureau des Statistiques[99]
- 7 août, entrevue d'Henry et de Lauth avec l'indicateur Richard Cuers[100]
- 14 septembre 1896, L'Éclair révèle le contenu du bordereau[101]
- septembre 1896, le général Guerrier demande des explications sur la fausse citation à l'ordre de l'armée en 1881[102]
- second semestre 1896, Esterhazy se fait recommander au près du général Billot, ministre de la guerre, par les parlementaires fr:Jules Roche, La Ferronays, Lareinty, Adrien de Montebello[103]
- novembre 1896, Maurice Weil s'entremet en faveur d'Esterhazy auprès du grand rabin fr:Zadoc Kahn et de la baronne de Rothschild[104]
- novembre 1896-printemps 1897, Esterhazy s'entremet pour le mariage de son neveu Christian [105]
- novembre 1896, Esterhazy s'associe à (?) pour lancer une maison close 43 rue du Rocher[106]
- 31 octobre - 1er novembre 1896, fabrication du faux Henry[107]
- 10 novembre 1896, Le Matin publie le fac-similé du bordereau[108]
- 11 novembre 1896, lettre anonyme à Maurice Weil qui la transmet au général Billot[109]
- décembre 1896, nouvelles démarches auprès de Billot pour un poste à Paris[110], démarche de Grenier auprès de Henry[111]
- fin mars 1897, le général Giovaninelli, commandant du 3e corps dont dépend le régiment d'Esterhazy, lui laisse entendre qu'il doit quitter l'armée, mais reconduit son congé de maladie pour 6 mois, avec mise automatique en non-activité le 17 août[112]
- mars 1897, campagne de La Libre Parole et L'Autorité contre Billot, inspirée sinon rédigée par Esterhazy[113]
- 16 octobre 1897, le général Gonse charge Du Paty de Clam du cas Esterhazy, avec Henry[114]
- 19 octobre 1897, 1re lettre anonyme signé Espérance[115]
- 22 octobre 1897, dernière entrevue avec von Schwartzkoppen[116] et 1re rencontre avec Paty de Clam et Gribelin au parc de Montsouris, puis avec Henry[117]
- 25 octobre 1897, Esterhazy reçu au ministère de la guerre, puis lettre à Billot[118]
- 29 Scheurer-Kestner reçu par le président fr:Félix Faure[119] ; 1re lettre d'Esterhazy au président de la République[120]
- 30 octobre 1897, Scheurer-Kestner reçu Billot[121]
- 31 octobre 1897, Esterhazy fait publier par Le Matin, L'Éclair et Le Temps le compte-rendu de l'entretien Scheurer-Kestner Billot, lançant la campagne de presse contre Scheurer-Kestner[122] ; 2e lettre d'Esterhazy au président de la République, mettant en cause Picquart[123]
- 5 novembre 1897, 3e lettre d'Esterhazy au président de la République menaçant de révéler la lettre « cette canaille de D. » (le « document libérateur »[124] ; Billot saisit le général Saussier du cas Esterhazy[125]
- 7 et 9 novembre 1897, Esterhazy convoqué par Saussier qui exige la restitution du « document libérateur »[126]
- 10 novembre, Marguerite Pays expédie à Picquart le télégramme du « demi-dieu » et Esterhazy lui envoie le télégramme « Blanche », interceptés et communiqués le lendemain au conseil des ministres par Henry. Ouverture d'une information contre Picquart[127]
- 11 novembre 1897, Scheurer-Kestner et fr:Mathieu Dreyfus mettent en commun leurs informations sur Esterhazy[128]
- c. 14 novembre 1897, Esterhazy fait publier par La Libre Parole le dossier préparé par Henry sur Picquart[129]
- 16 novembre 1897, publication de la lettre de Mathieu Dreyfus à Billot dénonçant Esterhazy[130]
- 16 novembre 1897, départ de von Schwartzkoppen, nommé à la Garde impériale[131]
- 17 novembre 1897 interview d'Esterhazy par Le Matin, affirmant que Dreyfus a imité son écriture (le « manuscrit d'Eupatoria »)[132], [Note 5]
- 17-20 novembre 1897, 1re enquête sur Esterhazy par le général de Pellieux[133]
- 21 novembre 1897, ouverture par le général de Pellieux de la 2e enquête décidée en conseil des ministres et ordre donné à Picquart de regagner la France[134]
- 28 novembre 1897, Le Figaro publie la « lettre du Uhlan » communiquée par Madame de Boulancy à Scheurer-Kestner[135], [136]
- 17 août 1897, mise en « non-activité pour infirmités temporaires »
- 24 août 1898, « mise en réforme pour méconduite habituelle »
- 21 mai 1923, mort du comte Jean de Voilemont
- 20 février 1949, le débit de tabac
Illustrations
[edit]Category:Ferdinand Walsin Esterhazy
- Nadar, général Esterhazy : Ladislas ? Ferdinand ?
- Nadar, Léonide Leblanc
- Crémieu-Foa, Le Voleur illustré : cabinet de lecture universel, 24 novembre 1892
- von Schwartzkoppen (également sur affairedreyfus.com
- Bertulus (voir affaire-dreyfus.com)
- Esterhazy, La France illustrée, 26 février 1898.
- J'ai écrit le bordereau, je suis un traître, Édouard Couturier, Le Sifflet, n° 19, 9 juin 1899
En France
[edit]-
Esterhazy c. 1885[137]
-
Esterhazy en uniforme du 74e d'infanterie (entre janvier 1893 et août 1898).
« C'est un homme de haute stature, légèrement vouté, à la physionomie fine, intelligente, énergique[138]. »
« Le commandant Esterhazy est un homme d'une taille au-dessus de la moyenne, légèrement voûté, sec et nerveux, aux cheveux grisonnants, qui se font rares, à la moustache militaire, au visage osseux, aux méplats accusés, aux yeux noirs, profondément enfoncés en l'arcade sourcilière.[139]. » -
Fac-similé et transcription de la "lettre du Uhlan" d'Esterhazy, publiés par fr:Le Figaro, 29 novembre 1897.
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Esterhazy jeté aux égouts sous le titre « Une Fripouille... Le seul conseil de guerre dont il soit justiciable. » Dessin de fr:Claude Guillaumin, dit Pépin, dans Le Grelot, 12 décembre 1897
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Esterhazy face au général de Pellieux, à la une du Petit Journal, 19 décembre 1897
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Carte postale, c. 1898. Sous le titre « Pas à quatre », le général fr:Auguste Mercier, le général de Boisdeffre, le commandant du Paty de Clam et le commandant Esterhazy. Ce dernier arbore sur son képi d'officier français la pointe d'un Uhlan.
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« La dame voilée », qui arbore képi et bottes sous son voile, remet des documents au commandant Esterhazy. Carte postale, c. 1898 .
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« La victime des Juifs. » Esterhazy représenté sur un pamphlet antisémite anonyme, 1898.
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« Les révélations de la femme voilée » (le personnage fictif d'« Espérance » inventé par Henry) figurent en bonne place dans le titre d'un pamphlet antidreyfusard (fin 1897 ou 1898).
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Sous le titre « Mars et Vénus », fr:Henri Rochefort, représenté en costume de femme légère et renommé fr:Boubouroche selon le nom du personnage de fr:Georges Courteline, sur les genoux du commandant Ferdinand Walsin Esterhazy en costume de Uhlan, lui déclarant : « C'est épatant, sans blague, c'que tu m'fais penser à mon pauvre Boulanger, surtout quand tu souris ! ». Claude Guillaumin (Édouard Pépin), 1898.
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Sous le titre « Et maintenant… Rideau ! », le commandant Esterhazy en diva saluant le public, après le « faux air des aveux », avec comme légende : « la preuve de la culpabilité de Dreyfus est tout entière dans notre innocence ». Dessin d'Édouard Couturier, 1898.
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Acte du jugement d'acquittement du commandant Esterhazy par le Conseil de guerre, 11 janvier 1898, le déclarant « à l'unanimité non coupable de haute trahison ».
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La lecture du jugement à l'issue du conseil de guerre acquittant Esterhazy, Petit Journal, 23 Janvier 1898
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Le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy sortant sous les acclamations après son acquittement par le conseil de guerre de janvier 1898, au bras de sa maîtresse, Marguerite Pays, publié dans La Vie illustrée, janvier 1898.
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Esterhazy ovationné à la sortie du conseil de guerre qui l'a acquitté, le 11 janvier 1898. Gravure de fr:Fortuné Méaulle, Petit Journal, supplément illustré, 23 Janvier 1898.
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Le ministre de la guerre : « C'est vous le Uhlan ? C'est bien mon ami : continuez ! » Pépin reprend le mot fameux attribué au maréchal de Mac-Mahon pour caricaturer le général Billot, ministre de la guerre, et Ferdinand Walsin Esterhazy en Uhlan, dans fr:Le Grelot, 23 janvier 1898.
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« Esterhazy Template:Ier ! Pourquoi pas ? » Cette caricature de Ferdinand Walsin Esterhazy après son acquittement triomphal, due à fr:Henri-Gabriel Ibels, fait la une du premier numéro du Sifflet, le 17 février 1898[140], [Note 6].
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« La Vérité. Panneaux décoratifs pour un Palais de justice. » La dame voilée d'Esterhazy sort du puits, à la place de la Vérité. Dessin d'fr:Henry Somm dans fr:Le Rire, 19 février 1898.
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Croquis d'audience de Louis Sabattier représentant Esterhazy à la barre des témoins lors du procès Zola, dans fr:L'Illustration, 26 février 1898.
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Esterhazy au procès Zola. Gravure de fr:Fortuné Méaulle, fr:Le Journal illustré, 27 février 1898.
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« Enfin ! Les Affaires reprennent !
Que penseriez-vous d'un "quinquina Esterhazy", régénérateur de l'Armée ?… » Dessin de fr:Henri-Gabriel Ibels à la une du Sifflet, 3 mars 1898. -
Ferdinand Walsin Esterhazy représenté en fr:Robert Macaire sous le titre « Le Uhlan », par fr:Henri-Gabriel Ibels, 1898[141].
-
Sous le titre « Envoi de témoins », Louis Chevalier renouvelle le thème du Uhlan pour caricaturer le commandant Esterhazy, dans Le Sifflet, 17 mars 1898 :
Ses témoins - À l'épée, naturellement?…
Lui - Non pas ! Exigez la lance. -
« Envoi au Salon.
Lui - J'ai bon espoir qu'il sera acquis par l'État.
Elle - Et l'original, mon cher, l'État ne sait déjà qu'en faire ! » Dessin de fr:Raoul Barré dans Le Sifflet, 24 mars 1898. -
« Lassitude.
Non seulement remettre ça, mais retourner encore là-bas ! » Ferdinand Walsin Esterhazy caricaturé par fr:Henri-Gabriel Ibels dans le journal Le Sifflet, 4 avril 1898, après le pourvoi en cassation d'Émile Zola. -
« Quand même ! » La Justice aveuglée soutient le commandant Esterhazy, qui tient à la main les lettres de Madame de Boulancy, publiées par la presse, mais s'appuie sur le colonel Henry, prêt à le défendre. Dessin d'fr:Henri-Gabriel Ibels, Le Sifflet, 14 avril 1898.[? 1]
-
Dessin d'fr:Henri-Gabriel Ibels dans Le Sifflet, 21 avril 1898.
Légende :
« Notre justice n'est pas la même que la vôtre (Commandant Ravary[? 2])
Janin, cavalier de 2e classe, en état d'ivresse, a insulté et frappé légèrement un sous-officier. Condamné à mort.
Murgo, sous-officier, à l'état normal, a insulté et blessé grièvement avec son sabre un cavalier de 2e classe. Acquitté.
Esterhazy, commandant, a insulté gravement la France et ses supérieurs. Acquitté avec félicitations. » -
« Rassurez-vous, mon cher commandant, ce n'est pas encore celle que vous croyez ! » Sous le titre « L'idée fixe », Louis Chevalier représente le commandant Esterhazy lisant une affiche de la conscription proclamant « Révision, classe 1898 », dans Le Sifflet, 26 mai 1898.
-
Le ministre de la guerre s'adresse au commandant Esterhazy, sous le titre « Pour s'en débarrasser » : « mon cher commandant, nous allons vous porter Candidat national aux élections. » Dessin de Contal dans Le Sifflet, 28 mai 1898.
-
« Dans cette lettre, M. Esterhazy annonce au colonel Picquart qu'il suivra "trois jours de suite, à partir de 7 heures", telles et telles rues (Les journaux). » Caricature de Ferdinand Walsin Esterhazy par fr:Henri-Gabriel Ibels à la une du journal Le Sifflet, 2 juin 1898, titrée « De la théorie à la pratique. »
-
« Le rêve du hulan (sic). » fr:Henri-Gabriel Ibels recourt encore au thème du Uhlan pour représenter le commandant Esterhazy face au juge Bertulus, dans Le Sifflet, 9 juin 1898.
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fr:Édouard Drumont, fr:Henri Rochefort et Ferdinand Walsin Esterhazy : « De l'Or, de la Boue, du Sang ! (projet de couverture pour le livre de M. Drumont) ». Par fr:Henri-Gabriel Ibels, Le Sifflet, 16 juin 1898.
-
Sous le titre « Apothéose orphéonique
"Patrie ! Honneur ! c'est ta devise"
(Paul Déroulède) », Édouard Couturier représente dans Le Sifflet, 23 juin 1886, le poète fr:François Coppée, le polémiste fr:Paul Déroulède et l'écrivain fr:Georges d'Esparbès offrant un sabre d'honneur au général de Pellieux et au commandant Ferdinand Walsin Esterhazy, avec la légende :« François Coppée - Au sabre revient l'honneur !
Paul Déroulède - Et voici le sabre d'honneur !
Georges d'Esparbès - Sa lame aura plus de sang que de rouille !
Commandant Esterhazy - Nom... de D... ! chouette alors ! part à deux !
Général de Pellieux - Sainte Boucherie ! Il n'a vraiment pas la trouille !
Le choeur - Boucherie, patrie, honneur, drapeau, bravo ! Vive le général de Pellieux ! » -
« Cette statue était destinée primitivement à être érigée dans une des cours du Ministère de la Guerre ou dans le jardin de la Légion d'honneur ; mais nous croyons savoir qu'au dernier moment, on a fait le choix d'un nouvel emplacement : l'entrée des Abattoirs, côté de la rue d'Allemagne. » Louis Chevalier imagine un monument à la gloire du commandant Esterhazy, représenté en Uhlan avec les inscription « Souscription nationale » et « Au grand patriote », dans Le Sifflet, 30 juin 1898.
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Dessin d'Édouard Couturier paru dans Le Sifflet, 6 juillet 1898. Accompagnée d'extraits des lettres de Ferdinand Walsin Esterhazy, dont la lettre du Uhlan, la légende déclare : « Tu n'as plus confiance en tes chefs, ni foi en notre honneur… Méfie-toi, soldat !… Nous avons des juges à Berlin. »
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« Après les fameuses révélations de M. Cavaignac », c'est à dire en fait la découverte du « faux Henri » : La Vérité sortant du puits tend son miroir au commandant Esterhazy, jeté à terre, effondré. Dessin de fr:Henri-Gabriel Ibels dans Le Sifflet, 14 juillet 1898.
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« L'énigmatique Picquart et le sympathique Esterhazy » saisis par fr:Charles Léandre dans fr:Le Rire, 30 juillet 1898. fr:Théodore Reinach décrit quant à lui Esterhazy d'une manière assez proche : « au physique, c'est un grand gaillard sec, osseux, prématurément courbé, miné par la tuberculose ; le bec d'un vautour, la grosse moustache d'un pandour[142]. »
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« Je suis absolument convaincu que ce peuple français ne vaut pas la cartouche pour le tuer » : Ferdinand Walsin Esterhazy, « le Uhlan », répétant les mot de sa lettre à Madame de Boulancy, par Pépin dans fr:Le Grelot, 10 juillet 1898.
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Le 13 juillet 1898, le juge Paul Bertulus, qui instruit une plainte de Christian Walsin Esterhazy contre son oncle, perquisitionne chez Marguerite Pays et arrête celle-ci avec Ferdinand Walsin Esterhazy. Illustration extraite de l'ouvrage de ce dernier, Les dessous de l'affaire Dreyfus, Paris, Fayard, 1898, 226 p., p. 33.
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« Un homme de garde spécial resta en permanence contre ma porte, me regardant par mon judas. » Ferdinand Walsin Esterhazy tel qu'il se dépeint lui-même lors de sa détention à la Santé en juillet 1898. Illustration extraite de l'ouvrage de ce dernier, Les dessous de l'affaire Dreyfus, Paris, Fayard, 1898, 226 p., p. 9.
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L'incident Esterhazy - Picquart fait la une du supplément illustré du Petit Journal du 17 juillet 1898.
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Dessin d'Édouard Couturier paru dans Le Sifflet, 4 août 1898 sous le titre « Les amis de nos ennemis sont nos ennemis » : « - « Esterhazy , à son grand regret, ne pourra pas assister aux funérailles de Bismarck… Ils le maintiennent toujours en prison… »
- Qui vous a télégraphié cela ?
-C'est un membre de la ligue antisémitique de France ! » -
« Je les tiens tous dans ma main !… » : Ferdinand Walsin Esterhazy, au bras de Marguerite Pays, caricaturé en Uhlan par Pépin dans fr:Le Grelot, 21 août 1898.
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Dessin d'Édouard Couturier mettant en scène le lieutenant-colonel fr:Armand du Paty de Clam et le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy, 1898. Légende :
Lieutenant-colonel du Paty de Clam - Moi ! Commandant ! Je n'ai pas eu comme vous un document libérateur !
Commandant Esterhazy - Nom… de D… ! Et le suicide du colonel Henry… Qu'est-ce que c'est donc ?[Note 7] -
« Dix mille francs pour les "aveux", et quinze mille pour le "démenti énergique", décidément, il n'y a qu'en Angleterre qu'on sache traiter les affaires ! » Dessin de fr:Henri-Gabriel Ibels dans Le Sifflet, 29 septembre 1898.
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« Esterhazy à Londres
Affaire Dreyfus.
Vente de révélations. »
Carte postale de 1898. -
fr:Émile Zola, représenté en nouveau Christ, accuse le Conseil de guerre d'avoir acquitté par ordre le commandant Esterhazy, désigné comme véritable coupable par le colonel Picquart. Caricature d'Orens, série "Le Calvaire Dreyfus", 1899
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« À Londres. » Esterhazy représenté par fr:Paul Renouard. Lithographie, 1899.
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« La main de la justice jette Esterhazy dans le torrent des immondices humaines sous le regard du dieu vengeur des iniquités. » fr:Charles Léandre, fr:Le Rire, 16 septembre 1899.
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Portraits du commandant Esterhazy lors du procès Zola, par fr:Paul Renouard, 1899.
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Spécimens d'écriture publiés par fr:le Figaro du 27 août 1899 : fac-similé du bordereau, lettres d'Esterhazy et texte de la dictée faite par Paty de Clam à Dreyfus en octobre 1894.
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Dans cette estampe de 1906, Orens transforme la balance de la Justice en pesage de courses. Le prêtre y est qualifié de menteur, Dreyfus d'innocent et fr:Lucien Millevoye, directeur du journal antidreyfusard La Patrie, se voit envoyé à Charenton. À Esterhazy, qui porte le borderau en guise en guise de cache-sexe, la balance répond « coupable » et délivre… un coup de pied aux fesses[Note 8].
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Le commandant Esterhazy représenté en hyène, sous le titre « Commandant Esterhazy, l'honneur de l'armée ? », par Orens, carte postale, série « Les grandes figures de l’Affaire Dreyfus », 1906.
En Europe
[edit]-
fr:Marianne, le balai à la main, face à la toile d'araignée de l'affaire Dreyfus où apparaissent, sous forme de mouches, le vice-président du Sénat Scheurer-Kestner et fr:Émile Zola, tandis qu'en tombe le commandant Esterhazy. Carte postale, Prague, 1898.
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Le commandant Esterhazy représenté aux bras de deux élégantes « cocottes ». Carte postale, c. 1898
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« Les visions de Scheurer-Kestner », caricature russe publiée dans Strekoza, 1897. Esterhazy adresse un pied-de-nez au vice président du Sénat, fr:Auguste Scheurer-Kestner, tandis que dans son dos, la main du conseil de guerre s'apprête à l'empoigner.
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« Le choix des dames de Paris. La République est folle de ce coquin de major et elle ne veut pas lui laisser un instant de repos. » Caricature autrichienne, parue dans Der Floh, en janvier 1898 (reproduite dans fr:Le Rire du 19 février 1898). Sous le titre « Bal masqué européen », fr:Marianne danse devant Esterhazy, représenté sous les traits du major de la Vie parisienne d'Offenbach.
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« Pauvre République ! » Marianne ligotée à un poteau autour duquel dansent, costumés en sauvages, des personnages représentant le sabre et le goupillon. Au centre, sous l’œil d'fr:Henri Rochefort, le commandant Esterhazy allume le bûcher. Caricature autrichienne parue dans le Neue Glühlichter, 1898 (reproduit dans fr:Le Rire du 26 février 1898).
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fr:Émile Zola tente de déverrouiller les cadenas qui ferment la bouche des présidents de la République fr:Jean Casimir-Perier et fr:Félix Faure ainsi que du président du Conseil fr:Jules Méline, tandis qu'à l'arrière-plan, fr:Henri Rochefort dit au commandant Esterhazy : « Cet honorable imbécile croit pouvoir ouvrir des cadenas aussi bien faits avec une simple clef quand il faudrait une pince-monseigneur. » Dessin paru dans le journal autrichien Der Floh en 1898 (reproduit dans fr:Le Rire, 26 février 1898).
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Le caricaturiste belge Julio représente « La joyeuse entrée d'Esterhazy 1er empereur », accompagné de dames voilées jetant à ses pieds des missives secrètes et précédant la cage où est enfermé Émile Zola. La Réforme, 1898.
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« Affaire Zola - Esterhazy. La Dame voilée...
Oui, mon général ! ». Carte postale allemande, 1898. Le sabre et les bottes de l'état-major pointent sous les jupons de la « Dame voilée ». -
« Esterhazy sur le tonneau de poudre. Ça commence à sentir le brûlé. » Caricature parue en 1898 en Allemagne dans le Lustige Blatter, reproduite dans fr:Le Rire du 21 mai 1898.
-
Esterhazy, Vanity Fair, 1898
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Le vice-président du Sénat, fr:Auguste Scheurer-Kestner, inocule à Esterhazy le vaccin de la trahison, prélevé sur le veau Dreyfus enchaîné, sous l’œil d'fr:Émile Zola. Caricature russe publiée dans Strekoza, 1898.
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fr:Émile Zola ôte le bandeau qui couvre les yeux de la Vérité. Dreyfus est au Bagne tandis qu'Esterhazy est libre. Caricature autrichienne parue dans Wiener Witzblatt, 23 janvier 1898 (reproduite dans fr:Le Rire du 12 février 1898)
-
« Le coup de balai à l'état-major. À peine le tsar a-t-il proposé le désarmement que déjà les Français se mettent résolument à licencier. » Au bas des marches, Esterhazy et le colonel Henry (en dame voilée). Dessin paru dans le journal allemand Lustige Blatter, 1898 (reproduit dans fr:Le Rire du 1er octobre 1898).
-
« Leur Juif errant », par Julio, dans la journal belge La Réforme, 1898.
-
Esterhazy est conduit à l'fr:Île du Diable, tandis que Dreyfus, l'avocat Labori et fr:Émile Zola montent sur le navire « La Liberté », et que les généraux Gonse, Mercier, de Pellieux, de Boisdeffre et le commandant Paty de Clam embarquent sur un navire « La Vérité ». Carte postale allemande, 1899.
-
« Les deux horloges de l'Affaire Dreyfus. » Caricature italienne de 1899, opposant la Justice aveugle et cléricale du procès de 1894, où Esterhazy fixe l'heure, à la France « libérale » de la grâce présidentielle qui suit celui de 1899, où Zola remplace Esterhazy.
Pièces d'archives
[edit]-
Le bordereau, recto.
-
Le bordereau, verso.
-
Le faux Henry.
-
En-tête du dossier constitué par le colonel Picquart contre Esterhazy en octobre 1896, de la main du sous-chef d'état-major, le général Gonse, daté de 1897[? 3].
Autres protagonistes
[edit]-
Maximilien von Schwartzkoppen, 1895
-
Alexandre Panizzardi, 1899[143]
-
Le général de Boisdeffre, chef d'état-major général de l'armée, caricaturé par fr:Charles Léandre lors de l'affaire Dreyfus, dans fr:Le Rire, 17 septembre 1898.
-
Général Saussier, ?
-
Le Général Saussier caricaturé par fr:Charles Léandre dans fr:Le Rire, 15 janvier 1898
-
Colonel Henry, 1898 (procès Zola)
-
fr:Joseph Reinach, acteur et premier historien de l'Affaire.
-
fr:Théodore Reinach.
« Mais sous ces dehors de soldat-gentilhomme, il y avait un héros raté de Balzac, une âme ravagée, assoiffée de jouissances, gonflée de fiel, rongée par l'envie et l'ambition déçue. Sa vie privée était orageuse. Après un grand nombre de liaisons plus ou moins éphémères, quoique marié et père de deux enfants, il était descendu jusqu'à une fille avec laquelle il vivait presque publiquement. Son patrimoine dévoré, il avait demandé des ressources aux tripots, à la Bourse ; talonné par ses créanciers, il recourait à l’escroquerie, au faux ou à la mendicité[144]. » -
Le magistrat Paul Bertulus qui instruit l'affaire Esterhazy. Lithographie de Paul Renouard, 1899.
-
« Le plus instruit des juges d'instruction ». Paul Bertulus caricaturé par fr:Charles Léandre dans fr:Le Rire, 13 août 1898.
Chansons
[edit]Avant le procès Esterhazy :
« Somm' tout' là d'dans que reste-t'-y
Que reste-t'-y pour nous d'potable ?
Y'a le commandant Esterhazy
Qu'est un pauvr'bougre pas coupable.
Oui mais, est-c'que l'governement
Saura remplir sa lourde tâche[145]. »
Postérité (autres)
[edit]- 1894 - L'Homme à l'origine de l'affaire Dreyfus, , , 56 p.[Note 9]
Œuvres
[edit]- Ferdinand Walsin Esterhazy, Batailles de Malplaquet et de Denain, Combat du col d'Exilles, Publication de la Réunion des officiers, 1877, 40 p.
- Ferdinand Walsin Esterhazy, Les dessous de l'affaire Dreyfus, Fayard, 1898, 226 p.
Bibliographie
[edit]Bibliographie principale
[edit]- Marcel Thomas, Esterhazy ou l'envers de l'affaire Dreyfus, Vernal/Philippe Lebaud, 1989, 401 p., 978-2865940493.
Bibliographie secondaire
[edit]- Raymond Bachollet, Le Sifflet (1), caricaturesetcaricature.com, 3 juillet 2007
- Patrice Boussel, L'affaire Dreyfus et la presse., Armand Colin, 1960, 271 p.
- Bertrand Joly, Histoire politique de l'affaire Dreyfus, Fayard, 2014, 784 p., 978-2213676678.
- fr:Philippe Oriol, 1894. L’homme à l’origine de l’affaire Dreyfus, affaire-dreyfus.com, 13 septembre 2014
- Bruno de Perthuis, Orens : un artiste et une œuvre marqués par l’Affaire : Jeu de miroirs (4), caricaturesetcaricature.com, 6 décembre 2007
- William Serman, Les origines des officiers français, 1848-1870, Publications de la Sorbonne, 1979, 406 p., 978-2859440152.
Témoignages, souvenirs et archives judiciaires
[edit]- L'affaire Dreyfus. Le procès Zola devant la cour d'assises de la Seine et la cour de cassation (7 février-23 février-31 mars-2 avril 1898) : compte rendu sténographique in extenso et documents annexes, Stock, Le Siècle, 1898, 546 p..
- Le procès Dreyfus devant le conseil de guerre de Rennes (7 août-9 septembre 1899) : compte-rendu sténographique in-extenso, Stock, Le Siècle, 1900, 826 p..
- fr:Henri-Gabriel Ibels, Allons-Y! Histoire Contemporaine (1898), Stock, 1898, 116 p.
- John Grand-Carteret, L'affaire Dreyfus et l'image: 266 caricatures françaises et étrangères, Flammarion, 1898, 352 p..
- fr:Théodore Reinach, Histoire sommaire de l'affaire Dreyfus, Ligue des droits de l'homme, 1924, 258 p..
- fr:Maximilian von Schwartzkoppen, Les carnets de Schwartzkoppen (La vérité sur Dreyfus), Rieder, 1930, 376 p.
Archives de presse
[edit]Madame de Boulancy :
- « Mme de Boulancy », fr:Gil Blas, 6 décembre 1897 (Lire en ligne).
Marguerite Pays :
- « Mme Marguerite Pays », fr:Le Matin, 11 janvier 1898 (Lire en ligne).
Les duels Crémieu-Foa:
- Un duel tragique, Le Petit Parisien, supplément littéraire illustré, 3 juillet 1892
- Albert Bataille, Causes criminelles et mondaines de 1892, Dentu, 1892, p. 334
La lettre de Mathieu Dreyfus à Billot :
- « Une lettre du frère de Dreyfus », fr:L'Aurore, 16 novembre 1897 (Lire en ligne).
L'interview d'Esterhazy :
- « Le dénoncé, interview avec le commandant Esterhazy », fr:Le Matin, 17 novembre 1897 (Lire en ligne).
Portaits d'Esterhazy :
- Santillanne, « Le commandant Esterhazy », fr:Gil Blas, 17 novembre 1897 (Lire en ligne).
- « L'affaire Dreyfus », Le Temps, 17 novembre 1897 (Lire en ligne).
Lettre du uhlan :
- « L'affaire Dreyfus, la saisie d'hier », fr:Le Figaro, 28 novembre 1897 (Lire en ligne).
- « L'affaire Esterhazy », fr:Le Figaro, 29 novembre 1897 (Lire en ligne).
Le conseil de guerre :
- « Acquitté ! », fr:Le Matin, 12 janvier 1898 (Lire en ligne).
Autres :
- Le dossier d'Esterhazy, L'Aurore, 27 août 1898
Les "aveux" :
- « Esterhazy avoue qu'il a fait le bordereau », fr:Le Matin, 3 juin 1899 (Lire en ligne).
- « Boisdeffre accusé par Esterhazy », fr:Le Matin, 18 juillet 1899 (Lire en ligne).
Notes et Références
[edit]Notes
[edit]- ↑ Sur les incorporations depuis un grade au titre étranger : « Le seul cas que l'on puisse signaler sous le Second Empire est celui d'un faux comte, fils et neveu de généraux, que ses origines familiales et ses protections ont fait nommer directement sous-lieutenant dans la Légion Étrangère en juin 1870 : il s'agit de Charles-Marie-Ferdinand Walsin-Esterhazy, appelé à connaître la célébrité en raison de son triste rôle dans l'affaire Dreyfus. » dans William Serman, p. 182.
- ↑ « M. Esterhazy assiste à divers combats livrés par l'armée de la Loire et s'y fait remarquer par son entrain, sa bravoure. » Conseil de guerre de Rennes, « Rapport du colonel Kerdrain sur les faits reprochés à M. le commandant Walsin-Esterhazy, actuellement en non-activité pour infirmités temporaires et traduit devant un Conseil d'enquête », p. 401
- ↑
et« D'une bravoure à toute épreuve, il eut des duels retentissants et des aventures piquantes qui n'eussent pas manqué d'effaroucher les âmes prudes d'une garnison de sous-préfecture mais qui, dans ce Paris toujours indulgent à la jeunesse, même dans ses manifestations les plus tapageuses, lui donnèrent une notoriété de bon aloi. »
Gil Blas, 17 novembre 1897« Lié par les voeux les plus tendres à une danseuse de l'Opéra que se disputèrent tour à tour l'Armée, la Diplomatie et l'Administration, il jugea à propos un beau matin de mettre la mer entre sa maîtresse et lui [...] L'officier, pour des raisons que dictait seul son coeur, demandait tout à coup à servir en Afrique. Esterhazy en quittant Paris et l'Opéra avait juré de mourir. »
- ↑ « Une assez jolie brune, forte et potelée, gracieuse… » selon Le Matin, 11 janvier 1898.
- ↑ Marcel Thomas mentionne le 16 novembre par erreur, lire Le Matin, 17 novembre 1897.
- ↑ Sur Le Sifflet, lancé en 1898 par fr:Henri-Gabriel Ibels en réaction au Psst… ! antidreyfusard de fr:Caran d'Ache, lire Raymond Bachollet.
- ↑ Le « document libérateur » désigne l'une des pièces du « dossier secret » constitué par le colonel Henry contre Dreyfus, dont Esterhazy fait état fin 1897 dans ses lettres de chantage adressées au président de la République fr:Félix Faure, afin de mettre en cause le colonel Picquart, son principal accusateur. Voir Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283-285.
- ↑ Dreyfus porte au chevilles les marques des fers de la « double boucle » du bagne. Sur Orens et l'affaire Dreyfus, lire Bruno de Perthuis.
- ↑ fr:Philippe Oriol mentionne une précédente bande dessinée parue en 1948 sur le même sujet, dans fr:Le Soir. Blog de la Société internationale d'histoire de l'affaire Dreyfus, 13 septembre 2014
Références
[edit]- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 15.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 16.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 16.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 17.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 18.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 19.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 20.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 20.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 22.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 23.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 33.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 35.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 37.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 37.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 38.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 39.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 41.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 45.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 42.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 42.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 53-54.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 55-60.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 52.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 60.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 63.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 67.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 68.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 72-73.
- ↑ Gil Blas, 6 décembre 1897.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 70-71.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 75.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 79 et 99.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 99.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 92-94.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100-101.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 103.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 104.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 110.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 114.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 116.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 103.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 133.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 135.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 135.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 139.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 140.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 137.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 122.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 145.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 153.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 196.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 158.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 162-163.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 173.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 177.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 193.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 178.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 179.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 179.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 181.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 183.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 184.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 184.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 186.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 193-194.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 217 et 219.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 195.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 197.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 198.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 199.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 202-203.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 206.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 204.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 203.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 219.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 207.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 208-210.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 215.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 208-216.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 222.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 229.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 226.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 242
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 251-252
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 226.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 233.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 237 et suiv., 252,
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 239-241
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 243
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 243
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 244 et 247
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 245
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 246
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 248
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 250
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 260
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 262
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 267
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 268-271
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 268-275-276
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 284
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 287
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 288-289
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 291-294
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 299
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 300
- ↑ L'Aurore, 16 novembre 1897.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 303
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 275 et 302
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 301 et 304
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 304
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 306
- ↑ Le Figaro, 28 novembre 1897.
- ↑ Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 90.
- ↑ Gil Blas, 17 novembre 1897.
- ↑ Le Matin, 17 novembre 1897
- ↑ Patrice Boussel, p. 267.
- ↑ Henri-Gabriel Ibels, p. 8.
- ↑ Théodore Reinach, Histoire sommaire…, p. 59
- ↑ "La vie illustrée", 15 août 1899.
- ↑ Esterhazy dépeint par Théodore Reinach, Histoire sommaire…, p. 59-60.
- ↑ John Grand-Carteret, p. 46
À revoir (group=?)
[edit]- ↑ « L.D.P. » = fr:Ligue des Patriotes ?
- ↑ L'attribution de cette phrase au commandant Ravary est ironique… « Le commandant Ravary manifeste une telle partialité et une telle méconnaissance de la loi que son greffier doit à deux reprises s'interposer et rappeler au commandant les devoirs de sa charge. » Lire Bertrand Joly, p. 67.
- ↑ Référencer avec Ph. Oriol.