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Sun Aug 29 23:56:43 CEST 2010 & Mon Aug 30 00:23:05 CEST 2010
[edit]-
Français : « Vraiment, monsieur, cette fête est charmante !... »
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Français : Il vint respirer sur un large balcon…
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Français : « Oui, général, et je vais t’apprendre… »
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Français : « Que Votre Majesté m’excuse !… »
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Français : Le courrier Michel Strogoff entrait dans le cabinet impérial.
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Français : « Va donc, Michel Strogoff… »
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Français : Michel Strogoff s’étendit dans son coin.
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Français : Le train repartait sans s’inquiéter du retardataire…
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Français : Puis les yeux baissés, elle se disposa…
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Français : Voyageurs plus ou moins bousculés, cris…
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Français : « Qu’est-ce que tu fais là ? »
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Français : C’était un mouvement, une excitation…
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Français : Alors, d’une voix haute, il lut…
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Français : Là, sur un banc, tombée plutôt qu’assise…
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Français : « Soeur », dit-il.
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Français : Il montait l’échelle du gaillard d’avant.
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Français : Au moment où la troupe bohémienne…
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Français : Alcide Jolivet allait-il donc manquer le départ…
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Français : Une demi-heure plus tard, trois chevaux de poste…
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Français : Le tarentass quittait Perm au milieu d’un nuage de poussière.
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Français : « Sois prête à tout. Voici l’orage ! »
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Français : Il parvint, non sans peine, à maîtriser les chevaux.
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Français : « Des cris, frère ! Écoute ! »
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Français : Les rafales brusquement brisées…
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Français : « Tu n’es pas blessée, sœur ?... »
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Français : Si l’iemschik ne se fût prudemment reculé…
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Français : Le diligent Français avait trouvé un tarentass.
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Français : Le 22 juillet, les deux tarentass arrivaient.
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Français : Un relais de poste en Sibérie.
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Français : « Défends-toi, car je ne te ménagerai pas ! »
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Français : « Pour la patrie et pour le Père ! » murmura-t-il.
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Français : « Va-t’en, mon ami, lui dit-il. Je te tuerais ! »
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Français : Elle était déposée dans une des barques.
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Français : « Ne parle pas. Tu es encore trop faible. »
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Français : « Mon fils ! »
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Français : « Sais-tu que je puis te faire torturer ? »
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Français : Le cheval, taonné par ces venimeux diptères.
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Français : « Peux-tu me répondre ? » lui dit-il d’une voix grave.
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Français : Michel Strogoff s’avançait avec circonspection.
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Français : « Des torches ! » se dit-il.
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Français : D’une main qui ne tremblait pas, il le visa.
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Français : Le cheval de Michel Strogoff, frappé au flanc…
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Français : À deux verstes en avant, une petite ville…
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Français : Le champ de bataille de Kolyvan.
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Français : La tente de Féofar dominait les tentes voisines.
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Français : Il attendait donc dans les ténèbres…
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Français : Une immense clarté dissipa les ombres de la nuit.
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Français : Soulevé soudain par une force irrésistible, il roula à terre…
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Français : « Qui a tué cet homme ? » demanda le grand-duc.
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Français : « Ma joie sera de vous appeler tous les deux mes enfants ! »
Sun Aug 29 00:30:46 CEST 2010
[edit]Sat Aug 28 23:59:03 CEST 2010
[edit]Fri Aug 27 23:08:42 CEST 2010
[edit]-
Français : Les journaux s’en mêlèrent.
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Français : « Vous allez à San-Fernando? » dit le gouverneur.
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Français : « Pour varier votre ordinaire! » dit M. Miguel.
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Français : Si jamais homme fut confondu dans son incrédulité.
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Français : Attaqués par un parti de ces indiens Bravos...
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Français : Les balles, mieux dirigées que les flèches, jetèrent le désordre.
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Français : Jean avait tout entendu.
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Français : « Prenons garde... Prenons garde!... » s’écria M. Miguel.
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Français : Le commissaire faisait admirer à ses hôtes...
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Français : Le pauvre homme, les yeux en pleurs, s’appuya contre une roche.
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Français : Il allait faire feu.
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Français : « Charmante en garçon... charmante en fille!... »
Wed Aug 25 23:14:00 CEST 2010
[edit]-
Français : Les journaux s’en mêlèrent.
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Français : « Vous allez à San-Fernando? » dit le gouverneur.
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Français : Dardentor suivi de son domestique.
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Français : « Pour varier votre ordinaire! » dit M. Miguel.
-
Français : Si jamais homme fut confondu dans son incrédulité.
-
Français : Attaqués par un parti de ces indiens Bravos...
-
Français : Les balles, mieux dirigées que les flèches, jetèrent le désordre.
-
Français : Jean avait tout entendu.
-
Français : « Prenons garde... Prenons garde!... » s’écria M. Miguel.
-
Français : Le commissaire faisait admirer à ses hôtes...
-
Français : Le pauvre homme, les yeux en pleurs, s’appuya contre une roche.
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Français : C’étaient un lion et une lionne.
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Français : Lorsqu’un coup de feu éclata...
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Français : « Ma foi! Vive le Dardentor!... »
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Français : Décontenancés, furieux...
-
Français : « Tu seras mon neveu, fiston! »
Mon Aug 23 06:09:42 CEST 2010 & Tue Aug 24 00:48:05 CEST 2010 & Wed Aug 25 21:05:39 CEST 2010
[edit]-
Français : « Quoi ! s’écria Lord Glenarvan, c’est une bouteille que ce requin a dans l’estomac ! »
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Français : Glenarvan retira les documents avec précaution.
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Français : « Mon père ! » s’écria Mary Grant.
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Français : Là, le révérend Morton implora les bénédictions du ciel.
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Français : Cet homme grand, sec et maigre, pouvait avoir quarante ans.
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Français : Paganel parlait avec une animation superbe.
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Français : L’aspect de l’île à travers cet épais rideau de pluie était navrant.
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Français : Les vergues du Duncan frôlaient les branches des hêtres.
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Français : Tom Austin, Wilson et Mulrady.
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Français : Le gué du rio de Tubal.
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Français : À cinq heures du matin, les voyageurs avaient atteint une hauteur de sept mille cinq cents pieds.
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Français : Le plateau glissait avec la rapidité d’un express.
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Français : L’oiseau enlevait Robert par ses vêtements.
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Français : Le Patagon Thalcave.
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Français : La route de Carmen à Mendoza.
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Français : Les chevaux marchaient d’un bon pas.
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Français : Robert saisit la main du lord et la porta à ses lèvres.
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Français : Les loups rouges lancés sur les traces du cheval.
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Français : La chasse aux flamants.
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Français : Paganel fit observer un effet de mirage.
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Français : C’était une douzaine de jeunes garçons.
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Français : « Enchanté ! Bienvenu ! » dit le commandant.
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Français : « La crue ! la crue ! » répondit Thalcave.
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Français : Une vague monstrueuse déferla.
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Français : Thaouka s’éloignait rapidement.
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Français : Tel était l’asile offert à la petite troupe.
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Français : Paganel dégringolait de branche en branche.
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Français : La chasse s’annonçait bien.
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Français : « Il y avait une fois, dit Paganel… »
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Français : Le soleil venait de se coucher dans les brumes étincelantes de l’horizon.
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Français : Les éclairs affectaient des formes variées.
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Français : La trombe se jeta sur l’ombu.
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Français : « Amigos ! » dit le Patagon.
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Français : Seul Glenarvan veilla.
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Français : « Quien sabe ? » répondit Thalcave.
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Français : Lady Helena et Mary Grant du haut de la dunette…
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Français : Le savant, mis en demeure de parler, s’exécuta aussitôt.
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Français : Tristan d’Acunha.
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Français : L’équipage du Duncan fit bonne chasse.
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Français : La maison était située au fond d’un port naturel.
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Français : Des eaux thermales s’échappaient des laves noirâtres.
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Français : « Major, pariez-vous contre moi ? »
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Français : Les récits de Paganel.
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Français : Alors, sous ce morceau de toile, le Duncan laissa porter.
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Français : « À Dieu vat ! » cria le jeune capitaine.
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Français : Les embarcations furent envoyées à terre.
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Français : « Allons au moulin », répliqua Glenarvan.
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Français : C’était un homme de quarante-cinq ans.
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Français : Bientôt le navire fit côte.
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Français : Il était entre les mains des indigènes.
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Français : Enfin, il arriva à l’habitation de Paddy.
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Français : Les passagers revinrent à bord.
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Français : Aménagement du chariot.
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Français : On donna le signal du départ.
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Français : Les « mosquitos plains ».
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Français : La station de Red-Gum.
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Français : C’était un « jabiru », sorte de grue géante.
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Français : Le chariot s’inclina sous un angle inquiétant.
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Français : La nuit les surprit à un demi-mille du campement.
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Français : Mort de Burke.
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Français : Stuart fit déployer le drapeau australien.
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Français : Un effroyable accident avait eu lieu.
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Français : C’était le cadavre du garde.
-
Français : C’était le cadavre du garde.
-
Français : « Élève Toliné, levez-vous ! »
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Français : Là, s’élevait une véritable ville.
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Français : Le musée minéralogique de la Banque.
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Français : Paganel ramassait un caillou.
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Français : La forêt d’eucalyptus.
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Français : Le soir venu, on campa au pied d’eucalyptus.
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Français : Il y en avait là une trentaine d’hommes.
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Français : Toutes ces armes s’agitaient dans des mains frénétiques.
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Français : Paganel ne se coucha pas.
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Français : Le « menure » ou oiseau-lyre.
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Français : C’était une charmante maison de bois et de briques.
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Français : La chasse au kanguroo.
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Français : Une grêle d’une violence extrême.
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Français : Une forêt de fougères arborescentes.
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Français : (missing text)
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Français : Quelques éclairs enflammaient l’horizon.
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Français : Le major disparut sous les hautes herbes..
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Français : Le lourd véhicule ne bougeait pas.
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Français : « C’est moi qui partirai », dit Ayrton.
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Français : Une détonation éclata.
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Français : Un couple d’eurus dont la tête confiante…
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Français : En ce moment la rafale redoublait de violence.
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Français : Ils transportèrent le corps de Mulrady.
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Français : Cinq hommes se jetèrent à la tête de son cheval.
-
Français : Cependant, le radeau s’engagea au milieu de la Snowy.
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Français : Les deux jeunes femmes se traînaient.
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Français : C’était un brick nommé le Macquarie.
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Français : Glenarvan reprit la route d’Eden.
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Français : Des pirogues l’assaillirent violemment.
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Français : Le 6 octobre 1769 parut l’illustre Cook.
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Français : Aussitôt, quatre matelots, bons tireurs…
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Français : Mulrady et Wilson redressèrent plus d’une fois la barre.
-
Français : Mulrady et Wilson redressèrent plus d’une fois la barre.
-
Français : Glenarvan restait sur le pont.
-
Français : Le Macquarie donnait sa bande sur tribord.
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Français : Ils mouillèrent à une demi-encablure.
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Français : Les travaux furent commencés.
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Français : Le martyre du révérend Walkner.
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Français : Le youyou se rangea le long du bord.
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Français : La nuit approchait.
-
Français : Les voyageuses portées de bras en bras.
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Français : Conversation dans la grotte.
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Français : Jacob Louper resta accroché au canot.
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Français : Les phoques avec leurs têtes arrondies.
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Français : C’était le kiwi zélandais.
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Français : C’était un canot long de soixante-dix pieds.
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Français : Le fleuve coulait entre des sources chaudes.
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Français : À midi, les embarcations débouchaient dans le lac Taupo.
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Français : Glenarvan et ses compagnons arrivèrent dans le pah.
-
Français : Robert se hissa sur les épaules de Wilson.
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Français : « Tabou ! Tabou ! » s’écria Kai-Koumou.
-
Français : Ce fut le signal d’une épouvantable scène de cannibalisme.
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Français : Les cadavres, repliés sur eux-mêmes, y furent placés.
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Français : Glenarvan et Lady Helena se laissèrent glisser.
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Français : Vers cinq heures, le jour commença à poindre.
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Français : « Asseyez-vous, mon cher lord. »
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Français : Le steward tomba à la renverse.
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Français : Les travailleurs se firent des leviers avec les pieux.
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Français : Une colonne incandescente fusa vers le ciel.
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Français : Des sources salines d’une transparence étrange.
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Français : Un boulet coupa en deux la pirogue.
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Français : Le retour à bord du Duncan.
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Français : « Jamais ! jamais ! » s’écria Paganel.
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Français : Ayrton traversa le pont d’un pas assuré.
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Français : Les deux femmes restèrent enfermées avec le quartier-maître.
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Français : Ayrton se contenta de hausser les épaules.
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Français : « Je suis réellement Tom Ayrton. »
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Français : Les deux enfants regardaient la mer.
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Français : Un homme se tenait sur la côte.
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Français : « C’est un paradis que cet îlot. »
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Français : Le quartier-maître, les bras croisés, immobile.
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Français : Le retour à Malcolm-Castle.
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Français : Quinze jours après, un mariage se célébrait.
Fri Aug 20 23:40:03 CEST 2010
[edit]-
Français : Ma couchette se trouvait installée dans une grotte.
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Français : Une vaste nappe d’eau s’étendait devant mes yeux.
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Français : « Ce n’est qu’une forêt de champignons », dit-il.
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Français : J’allai me plonger dans les eaux de cette Méditerranée.
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Français : Des algues immenses vinrent onduler à la surface des flots.
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Français : Le rêve d’Axel.
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Français : Le radeau a été soulevé hors des flots.
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Français : Ces animaux s’attaquent avec fureur.
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Français : Le geyser s’élève majestueusement.
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Français : Les cheveux de Hans sont hérissés d’aigrettes lumineuses.
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Français : La boule de feu se promena lentement.
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Français : Une plaine d’ossements apparut à nos regards.
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Français : C’était un corps humain absolument reconnaissable.
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Français : C’était la végétation de l’époque tertiaire dans toute sa magnificence.
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Français : Un Protée de ces contrées souterraines.
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Français : Au bout de six pas, notre marche fut interrompue.
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Français : « Croulez, montagnes de granit ! »
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Français : La torche jeta assez de clarté pour éclairer toute la scène.
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Français : Peu à peu, nous avions dû quitter nos vêtements.
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Français : Le radeau ondula sur des flots de laves.
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Français : Du sommet du Stromboli.
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Français : Mon oncle, demi-nu et dressant ses lunettes sur son nez.
Fri Aug 20 21:39:12 CEST 2010
[edit]-
Français : Starter Jeune défrichait de vastes terrains.
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Français : « Dolly! Dolly! » s’écria Jane.
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Français : Les passagers avaient reconnu Mrs. Branican.
-
Français : Il se trouvait dans le port de San-Diégo un certain nombre de steamers.
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Français : Mrs. Branican vint chaque jour les visiter.
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Français : Il y avait ce nom et ce chiffre : Franklin, 1875.
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Français : Les passagers lui montraient une extrême déférence.
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Français : Zach Fren et ses hommes étaient réunis à la gare.
-
Français : Les ouvriers, travaillant à leur pièce, ne perdaient pas un moment.
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Français : Zach Fren a renouvelé notre provision de sel.
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Français : « Attention! » cria Tom Marix.
-
Français : Tous sentaient l’irrésistible torrent d'air et de sable.
Thu Aug 12 00:08:14 CEST 2010
[edit]-
Français : Phileas Fogg
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Français : Jean Passepartout
-
Français : « Eh bien oui, monsieur Fogg, je parie 4000 livres ! »
-
Français : Une pauvre mendiante
-
Français : Il n’était pas un lecteur …
-
Français : L’inspecteur de police
-
Français : Après avoir vigoureusement repoussé …
-
Français : « Ma montre ! une montre de famille ! »
-
Français : Il faisait escale à Steamer-Point
-
Français : Passepartout, lui, flâna suivant sa coutume
-
Français : Les bayadères à Bombay
-
Français : Il renversa deux de ses adversaires
-
Français : La vapeur se contournait en spirales
-
Français : Là, ils se trouvèrent en présence d’un animal …
-
Français : Il riait au milieu de ses sauts de carpe
-
Français : Cette infortunée ne paraissait faire aucune résistance
-
Français : Les gardes des rajahs, éclairés par des torches …
-
Français : Un cri de terreur s’éleva
-
Français : Passepartout, nullement effrayé …
-
Français : Des bandes d’Indous des deux sexes
-
Français : « Mes souliers! » s’écria Passepartout
-
Français : Elle lui témoignait la plus vive reconnaissance
-
Français : Une ou deux fois seulement, il entrevit …
-
Français : Toutefois, l’île est charmante dans sa maigreur
-
Français : Il étonnait l’équipage et aidait à tout ...
-
Français : Passepartout remarqua un certain nombre d’indigènes …
-
Français : « Écoutez », dit Fix d’une voix brève
-
Français : « Votre Honneur cherche un bateau ? »
-
Français : « Je regrette de n’avoir pas mieux à vous offrir. »
-
Français : La jeune femme assise à l’arrière, se sentait émue
-
Français : La Tankadière fut enlevée comme une plume
-
Français : La nuit vint. Passepartout rentra dans la ville indigène …
-
Français : Passepartout sortait affublé d’une robe japonaise
-
Français : Le monument s’écroula comme un château de cartes
-
Français : Suivis de Passepartout, les ailes au dos …
-
Français : Il faillit passer au travers
-
Français : Si Fix, par dévouement, n’eût reçu le coup …
-
Français : Les draps étaient blancs
-
Français : Un troupeau de dix à douze mille têtes barra le rail-road
-
Français : « Et vous mon fidèle ! »
-
Français : Lac admirable ! ...
-
Français : Le pont définitivement ruiné, s’abîma avec fracas
-
Français : Le rail-road atteignait le plus haut point de son parcours
-
Français : « Moi, je jouerais carreau … »
-
Français : Les Sioux avaient envahi les wagons
-
Français : Suspendu d’une main entre le wagon de bagages …
-
Français : Une énorme ombre, précédée d’une lueur fauve
-
Français : Le Français en avait assommé trois à coups de poing …
-
Français : Les voyageurs, pressés les uns contre les autres …
-
Français : Parfois aussi, quelques loups des prairies …
-
Français : « Pirate ! » s’écria Andrew Speedy
-
Français : L’équipage y mettait un zèle incroyable
-
Français : « Au nom de la reine, je vous arrête ! »
-
Français : Il avait trouvé une note de la Compagnie du gaz
-
Français : « Me voici, Messieurs », disait-il
Thu Aug 05 19:54:39 CEST 2010
[edit]-
Français : Castle-House.
-
Français : Les assaillants occupaient la partie nord du domaine.
-
Français : Le commodore Dupont venait de paraître.
-
Français : La porte de Saint-Augustine.
-
Français : Le personnel de l’expédition réuni sur le pier de Camdless-Bay.
-
Français : C’est la qu'ils emmenèrent quelques esclaves.
Wed Aug 04 23:11:34 CEST 2010
[edit]-
Français : À cette science, il donnait toutes ses heures.
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Français : C’était un homme taciturne.
-
Français : Elle s’embarqua à bord du Pilgrim.
-
Français : Dick et Jack étaient presque toujours ensemble.
-
Français : Le chien connaissait-il et reconnaissait-il donc le maître-coq?
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Français : L’animal nagea péniblement vers le canot.
-
Français : Les soins les plus empressés avaient été prodigués aux naufragés.
-
Français : Ce vigoureux Nègre valait un palan à lui tout seul!
-
Français : Jack se voyait grand, grand.
-
Français : Il saisit un autre cube, et il alla le poser près du premier.
-
Français : Non sans qu’un geste de menace à l’adresse du chien lui eût échappé.
-
Français : «Il ne faudrait pas croire que les chiens aient seuls le privilège d’être intelligents.»
-
Français : Plus d’une fois, Dick Sand donna des preuves de sa merveilleuse adresse.
-
Français : «Ah! tu veux avoir cette baleine, mon garçon?»
-
Français : « Veille bien ! » cria une dernière fois le capitaine.
-
Français : « Sur quoi faut-il tirer ?... » demanda Hercule.
-
Français : « Je veillerai », répondit simplement Hercule.
-
Français : La baleinière se tenait à une encablure.
-
Français : La baleinière faillit chavirer.
-
Français : Elle battit formidablement les eaux troublées.
-
Français : Mrs. Weldon s’était penchée sur cette carte.
-
Français : Tous trois tombèrent à la renverse.
-
Français : Le petit Jack, très fier de lui.
-
Français : Il ne vit donc pas une ombre qui se glissait…
-
Français : Le novice rassurait toujours Mrs. Weldon.
-
Français : Negoro, toujours silencieux…
-
Français : Une rafale plus violente s’abattit en ce moment.
-
Français : Le novice tira de sa poche un revolver.
-
Français : « Vous avez vu la terre ?... » dit le novice.
-
Français : « Dick, mon cher enfant, mon capitaine ! » dit Mrs. Weldon.
-
Français : « À quel point de la côte arriverons-nous ? »
-
Français : En cet endroit, la mer était plus furieuse..
-
Français : Connaissait-il donc cette contrée ?
-
Français : En revoyant leur bâtiment…
-
Français : Ce fut le petit Jack qui trouva la chambre à coucher.
-
Français : Cousin Bénédict était littéralement furieux.
-
Français : « Soyez le bienvenu vous-même. »
-
Français : « Le charmant petit garçon ! » dit l’Américain.
-
Français : Là, un cheval, attaché à un arbre….
-
Français : Dick Sand pénétra sous l’épaisse forêt.
-
Français : Quelques-uns de ces ruisseaux, un peu larges…
-
Français : Le souper fut préparé aussitôt.
-
Français : À l’exception du géant qui veillait…
-
Français : Leur pelage, d’un roux ardent…
-
Français : « Pas de coup de feu ! »
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Français : La halte fut organisée pour la nuit.
-
Français : Il y avait là, sur le sol, des mains coupées.
-
Français : « Des hippopotames ! » allait-il s’écrier.
-
Français : Dick Sand se précipita, le coutelas à la main.
-
Français : Les bêtes fauves occupent le pays.
-
Français : La conversation commençait.
-
Français : « Il n’y a rien », dit bientôt Harris.
-
Français : Dingo disparut entre la double rangée d’arbustes.
-
Français : « Vous avez reconnu le rugissement. »
-
Français : La petite troupe n’avait pas fait cinquante pas.
-
Français : « Tu vas mieux, mon chéri ? »
-
Français : Un nouvel éclair permit d’observer.
-
Français : Dick et ses compagnons s’y glissèrent.
-
Français : Il se mit à fureter les coins les plus secrets.
-
Français : Le savant, monté sur son dada favori.
-
Français : « Je sais tout, mon pauvre Dick. »
-
Français : La lanterne, rallumée…
-
Français : Tous firent feu sur l’une des embarcations.
-
Français : Hercule disparaissait sous le couvert des arbres.
-
Français : Mais le géant fit tournoyer son fusil comme une massue.
-
Français : Le signal du départ fut donné.
-
Français : Bat, accouplé avec son père, marchait devant lui.
-
Français : Des femmes, des enfants ont été saisis et entraînés par les crocodiles.
-
Français : Il y a un billet dedans...
-
Français : On les y avait laissés mourir de faim.
-
Français : En même temps qu’Alvez apparaissait son ami Coïmbra.
-
Français : Dick Sand saisit un coutelas et il le lui enfonça dans le coeur.
-
Français : Dick Sand, étroitement enchaîné, fut déposé au fond d’un baracon.
-
Français : Ce roi avait cinquante ans.
-
Français : Puis Alvez, s’avançant à son tour…
-
Français : Le roi avait pris feu comme une bonbonne de pétrole.
-
Français : La ville de Kazonndé présentait un aspect inaccoutumé.
-
Français : « Misérable ! » s’écria le Portugais…
-
Français : La fosse apparut distinctement alors.
-
Français : Cousin Bénédict pouvait aller et venir dans l’établissement.
-
Français : « Et qui achèterait une Blanche ? »
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Français : David Livingstone.
-
Français : Leurs mains se serrèrent avec effusion.
-
Français : Pourquoi prenait-il cette direction ?
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Français : Mrs. Weldon était assoupie près du petit Jack, qui dormait.
-
Français : Il s’arrêta à l’extrémité même de son appendice nasal.
-
Français : Il fut emporté à travers la futaie.
-
Français : Le mgannga fit d’abord le tour de la grande place.
-
Français : Le mgannga emportait ses victimes…
-
Français : « Mrs. Weldon et le petit Jack que je vous présente ! »
-
Français : Deux heures après, le barrage avait cédé.
-
Français : Les éléphants venaient se désaltérer.
-
Français : Le lion regardait Dick Sand.
-
Français : Les indigènes, cependant, halaient rapidement leurs filets.
-
Français : « Un homme est mort dans cette hutte ! »
-
Français : Dingo, le dépistant, lui sauta à la gorge.
-
Français : Et la godille, brisée par une balle, volait en éclats.