Category:Hospice Saint-Charles (Québec)
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Français : L'hospice Saint-Charles, Québec
« C’est en 1856, à Québec, que Marie Fitzbach fonde la communauté des Servantes du Cœur Immaculé de Marie, mieux connues sous le nom des Sœurs du Bon-Pasteur. Elles accueillent celles qu’on appelle alors les «brebis perdues», c’est-à-dire les filles-mères. Au fil du temps, leur mission auprès des jeunes filles s'élargit. Ainsi, dans la seconde moitié du XIXe siècle, le déclin de la construction navale et du commerce du bois dans le port de Québec amène son lot de chômeurs et de familles pauvres. Par conséquent, on voit de plus en plus de filles désœuvrées avec tous les problèmes que cela entraine. C'est pourquoi, en 1870, les Sœurs du Bon-Pasteur ouvrent une école de réforme. Elles achètent une maison sur la rue Saint-Amable (auj. Jacques-Parizeau), au coin de la rue de la Chevrotière, pour y installer leur nouvelle école. La mission officielle de l'œuvre est la «préservation des enfants exposés à la dépravation à cause de parents irresponsables». Elle connaît un tel succès qu'on en vient à manquer de place. On construit donc un nouvel édifice, sur la même rue, mais au coin de la rue Berthelot (auj. De Senezergues). Il ouvre ses portes en 1876, alors que l'ancien édifice est détruit par les flammes. Certaines des filles provenant de familles respectables, on en profite pour changer le nom de l'institution en «Hospice Saint-Charles», en l’honneur de Mgr Charles-Félix Cazeau. En 1892, face à des effectifs toujours en croissance, les sœurs achètent l’ancien Hôpital de la Marine du quartier Saint-Roch pour y déménager leur hospice. Il y sera en opération jusqu'au début des années 1940. » – Société historique de Québec
« C’est en 1856, à Québec, que Marie Fitzbach fonde la communauté des Servantes du Cœur Immaculé de Marie, mieux connues sous le nom des Sœurs du Bon-Pasteur. Elles accueillent celles qu’on appelle alors les «brebis perdues», c’est-à-dire les filles-mères. Au fil du temps, leur mission auprès des jeunes filles s'élargit. Ainsi, dans la seconde moitié du XIXe siècle, le déclin de la construction navale et du commerce du bois dans le port de Québec amène son lot de chômeurs et de familles pauvres. Par conséquent, on voit de plus en plus de filles désœuvrées avec tous les problèmes que cela entraine. C'est pourquoi, en 1870, les Sœurs du Bon-Pasteur ouvrent une école de réforme. Elles achètent une maison sur la rue Saint-Amable (auj. Jacques-Parizeau), au coin de la rue de la Chevrotière, pour y installer leur nouvelle école. La mission officielle de l'œuvre est la «préservation des enfants exposés à la dépravation à cause de parents irresponsables». Elle connaît un tel succès qu'on en vient à manquer de place. On construit donc un nouvel édifice, sur la même rue, mais au coin de la rue Berthelot (auj. De Senezergues). Il ouvre ses portes en 1876, alors que l'ancien édifice est détruit par les flammes. Certaines des filles provenant de familles respectables, on en profite pour changer le nom de l'institution en «Hospice Saint-Charles», en l’honneur de Mgr Charles-Félix Cazeau. En 1892, face à des effectifs toujours en croissance, les sœurs achètent l’ancien Hôpital de la Marine du quartier Saint-Roch pour y déménager leur hospice. Il y sera en opération jusqu'au début des années 1940. » – Société historique de Québec
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Edifice Marie-Fitzbach - 04.jpg 3,264 × 2,448; 1.68 MB
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Hospice Saint-Charles vers 1890.jpg 588 × 755; 188 KB
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Le Bon-Pasteur de Quebec.jpg 778 × 585; 173 KB
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Maison Sainte-Madeleine - Asile du Bon-Pasteur.jpg 1,148 × 1,451; 434 KB
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Rue De La Chevrotiere - 01.jpg 4,608 × 3,456; 5.33 MB
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Rue De La Chevrotiere - 02.jpg 4,608 × 3,456; 4.5 MB