File:Le vieux Lachine et le massacre du 5 aout 1689 (1889) (14577360070).jpg

Identifier: levieuxlachineet00giro (find matches)
Title: Le vieux Lachine et le massacre du 5 aout 1689
Year: 1889 (1880s)
Authors: Girouard, Desire, 1836-1911
Subjects:
Publisher: Montreal, Gebhardt-Berthiaume
Contributing Library: Queen's University Library, W.D. Jordan Special Collections and Music Library
Digitizing Sponsor: Queen's University - University of Toronto Libraries

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e, Bel-levue, 1683, situé à la tête du rapide de ce nom, sur le fiefBellevue, un peu plus haut que léglise actuelle de Sainte-Anne:enfin, le fort Gentilly ou la Présentation, 1674, bâti sur lefief de ce nom, aujourdhui près la montée de Dorval. LE FORT RÉMY. Le fort Rémy a dû être appelé le fort de la Chine à lori-«ïne, de 1671 jusquà larrivée de M. Rémy, en 1680. Le mou-lin à vent quy bâtit en 1671 Jean Millot, cessionnaire de LaSalle, a dû servir de fort. M. Faillon, page 354, nous dit quilétait fait en maçonnerie en forme de tour et de la hauteurordinaire des moulins à vent, et pour servir de redoute.Il était entouré dune palissade de pieux, comme toutes lesredoutes. Il coûta mille écus. Millot labandonna au Sémi-naire le 2 septembre 1673 comme une charge insupportable. (1) Morin fait erreur lorsquil inclique le fort de Lachine comme étant distinct dufort Rémy. Digitized by the Internet Archivein 2013 archive.org/details/levieuxlachineetOOgiro
Text Appearing After Image:
Le Séminaire lui remboursa la somme dépensée. Le fortRémy, sil faut en croire les archives, le mode de constructionde cette époque et surtout le plan de M. de Catalogne, lait le■2 mars 1689, que lon trouvera dans lappendice, devail offrirla vue que représente la gravure. La maison de Jean Mil lotdoit être 1» manoir seigneurial de La Salir, agrandi pour lestins du commerce de Millot. LE FORT ROLLAND. Ce fort a dû être l>àti par Rolland pour protéger son comp-toir «If commerce. On trouve au greffe dAntoine Adhémar, 17juillet L713, une opposition de Rolland à la vente par décretdu fort Rolland, ses terres et dépendances. Rolland était traiteur et un personnage important. Le re-sement de 1681 lui compte cinq domestiques. Le 19 sep-tembre 1682, le gouverneur de la Nouvelle-France, le comtede Frontenac, fut le parrain de sa fille Magdeleine avec Ma-dame Perrot, la femme du gouverneur de Montréal. M. Dol-lier De Casson officiait. La cérémonie eut lieu à la ville en

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